CHANTS DE L'ABSENCE / SONGS OF ABSENCE
Claude Vigée - traduction Anthony Rudolf
Editions Menard Press, London / Temporel, Paris - 2007

Edition bilingue ; broché ; 55 p. ; prix : £6.00 / €9.00 ; ISBN : 978-1-8743-20-9-3

Après le décès de son épouse Evelyne, sa cousine germaine, au bout de soixante années de mariage, en janvier 2007, Claude Vigée, poète français renommé, a écrit un certain nombre de poèmes en vers et en prose. Ceux-ci, puissants et émouvants, accompagnés d'extraits de son journal, sont publiés ici, dans leur version bilingue, pour la première fois.
Ces Chants de l'absence sont co-publiés par la Menard Press et Temporel, revue en ligne dont Anne Mounic, poète et maître de conférences à la Sorbonne, est co-rédactrice. La Menard Press et le Kings College de Londres ont publié en 1992 une anthologie, Flow Tide, établie et traduite par Anthony Rudolf, de la poésie et de la prose de ce poète, ainsi que sa traduction des Quatre Quatuors de T. S. Eliot, accompagnée d'un essai de Gabriel Josipovici. Parmi les écrits d'Anne Mounic sur Claude Vigée figure La poésie de Claude Vigée : Danse vers l'abîme et connaissance par joui-dire (2005).

Songs of Absence
The distinguished French poet, Claude Vigée, wrote a number of poems in verse and prose following the death of his wife Evelyne in January 2007. First cousins, they had been married for sixty years. These powerful and moving poems (along with brief extracts front his diaries) are published in this bilingual edition for the first time.
Chants de l'absence is co-published by Menard Press and Temporel, the web-based magazine whose co-editor is Anne Mounic, poet and lecturer at the Sorbonne. Menard Press/ Kings College London published Rudolf''s translation of Vigée's selected poetry and proseFlow Tide, in 1992, as well as Quatre Quatuors, the French poet's translation of Eliot's Four Quartets, which was accompanied by an essay by Gabriel Josipovici. Anne Mounic's writings on Claude Vigée include La poésie de Claude Figée: Danse vers l'abîme et connaissance par joui-dire (2005).